Jumat, 17 Januari 2014

ger une carrière en politique. La société britannique du début du xixe siècle n'était pas particulièrement antisémite et plusieurs juifs avaient été députés depuis Sampson Eardley en 1770. Cependant,

Né à Londres dans une famille juive, Disraeli fut élevé dans la foi anglicane car son père était en conflit avec sa synagogue. Il entama une carrière d'avocat mais se tourna vers la politique dans les années 1830 et il fut élu à la chambre des Communes comme député de Maidstone en 1837. Lorsque les conservateurs prirent le pouvoir en 1841, Disraeli n'intégra pas le gouvernement du premier ministre Robert Peel. Cinq ans plus tard, Peel divisa le parti en demandant l'abrogation des Corn Laws qui limitaient les importations de céréales et il fut violemment attaqué par Disraeli. Peu de notables conservateurs rompirent avec Peel et Disraeli devint une figure importante du parti même si beaucoup se méfiaient de lui. Il fut trois fois chancelier de l'Échiquier et leader de la chambre des Communes au sein des cabinets de Lord Derby dans les années 1850 et 1860. Il développa à cette période une forte rivalité avec le libéral William Ewart Gladstone.
Lorsque Derby démissionna pour des raisons de santé en février 1868, Disraeli devint premier ministre mais perdit les élections à la fin de l'année. Il représenta alors l'Opposition avant de mener son parti à la victoire en 1874. Il développa une forte amitié avec la reine Victoria qui le fit comte de Beaconsfield en 1876. Le second mandat de Disraeli fut dominé par la Question d'Orient désignant le déclin de l'Empire ottoman et les actions des autres pays européens, notamment la Russie, pour en profiter. Il poussa ainsi les intérêts britanniques à prendre des parts dans la compagnie du canal de Suez en Égypte ottomane. En 1878, devant les victoires russes contre les Ottomans, Disraeli mena la délégation britannique au congrès de Berlin et négocia des termes favorables au Royaume-Uni.
Même si Disraeli fut félicité pour ses actions à Berlin, d'autres événements affectèrent le soutien à son gouvernement. Les guerres en Afghanistan et en Afrique du Sud furent critiquées et il irrita les agriculteurs britanniques en refusant de rétablir les Corn Laws. Gladstone mena une campagne efficace et le parti libéral remporta les élections de 1880. Disraeli avait écrit plusieurs romans depuis 1826 et il publia sa dernière œuvre, Endymion, peu avant sa mort à l'âge de 76 ans.
Benjamin Disraeli est né le 21 décembre 1804 dans le quartier londonien de Bloomsbury. Il était le second enfant et le premier fils d'Isaac D'Israeli, un historien et critique littéraire, et de Maria (Miriam) née Basevi1. La famille descendait de marchands italiens séfarades et tous les grands-parents et arrière-grands-parents de Benjamin étaient nés en Italie ; le père d'Isaac, également prénommé Benjamin, quitta Venise en 1748 pour s'installer en Angleterre2. Disraeli romança par la suite ses origines en avançant que la famille de son père était issue de l'aristocratie espagnole ou vénitienne ; en réalité, il n'y avait aucun noble dans la famille d'Isaac3 mais du côté de sa mère, auquel il ne s'intéressa pas, il possédait plusieurs illustres aïeuls4n 1. Les historiens sont partagés sur les motivations de Disraeli pour récrire son histoire familiale ; Bernard Glassman avance que cela était destiné lui donner un statut comparable celui de l'élite dominante anglaise5 tandis que Sarah Bradford suppose que « son aversion de l'ordinaire ne lui permettait pas d'accepter le fait que sa naissance soit aussi banale qu'elle était en réalité6 ».
Benjamin Disraeli avait une sœur aînée Sarah (1802-1859) et trois frères cadets Naphtali (né et mort en 1807), Raphael (1809-1898) et Jacobus (1813-1868). Il était proche de sa sœur et plus distant avec ses frères7. On sait peu de choses sur son éducation8. À l'âge de six ans, il fut scolarisé dans une dame school à Islington que l'un de ses biographes décrivit comme « un excellent établissement pour l'époque9,n 2 ». Environ deux ans plus tard, il fut envoyé à l'école du révérend John Potticary à Blackheath14. C'est à cette époque que son père renonça au judaïsme et ses quatre enfants furent baptisés dans la foi anglicane en juillet et août 18178.
Isaac D'Israeli n'avait jamais accordé un grand intérêt à la religion mais il était resté membre de la synagogue de Bevis Marks (en)3. Son père en était un membre influent et c'est probablement par respect pour lui qu'Isaac ne la quitta pas lorsqu'il se disputa avec les autorités du lieu en 1813n 3. Après la mort de son père en 1816, Isaac décida de quitter la congrégation après une nouvelle dispute8. Son ami et avocat, Sharon Turner, le convainquit que s'il lui était possible de n'être rattaché à aucune religion, cela serait préjudiciable à ses enfants s'ils faisaient de même. Turner fut ainsi le parrain de Benjamin lors de son baptême à l'âge de 12 ans le 31 juillet 181716.
Sa conversion au christianisme permit à Disraeli d'envisager une carrière en politique. La société britannique du début du xixe siècle n'était pas particulièrement antisémite et plusieurs juifs avaient été députés depuis Sampson Eardley en 1770. Cependant, jusqu'en 1858, les députés devaient prêter un serment d'allégeance à la « véritable foi chrétienne » ce qui imposait au minimum une conversion de forme17. On ne sait pas si Disraeli avait déjà des ambitions politiques au moment de son baptême mais il est certain qu'il regretta amèrement la décision de ses parents de ne pas l'envoyer au Winchester College18. Il s'agissait de l'une des plus prestigieuses public schools d'Angleterre qui formait une partie de l'élite politique19. Ses deux frères cadets y furent scolarisés et on ignore précisément pourquoi Isaac décida d'envoyer son fils aîné dans une institution bien moins cotée20. Il intégra ainsi une école de Walthamstow à l'automne
En novembre 1821, peu avant son 17e anniversaire, Disraeli fut embauché comme apprenti dans un cabinet d'avocat de la cité de Londres21. L'un de ses directeurs, T. F. Maples était non seulement son premier employeur et un ami de son père mais il faillit également devenir son beau-père22,23. Une amitié se développa entre Benjamin et la fille de Maples mais cela n'alla pas plus loin. Les affaires du cabinet étaient fructueuses et le biographe R. W. Davis note que le travail était « le type de fonction stable et respectable dont beaucoup de pères rêvaient pour leurs enfants21 ». Même si ses biographes comme Robert Blake et Sarah Bradford avancent que ce poste était incompatible avec la nature ambitieuse et romantique de Disraeli, il donna satisfaction à ses employeurs et indiqua par la suite qu'il avait beaucoup appris en travaillant dans le cabinet24,23.
Environ un an après avoir rejoint le

des paysans ou des ouvriers, en ajoutant les chapitres : Les Émigrants, Contumace, La Bourse, Le Carnaval et La Cartoucherie. Les Villes tentaculaires (1895) est un recueil de poésie écrit par Émile Verh

La littérature de science-fiction s'est souvent inspirée du roman noir, en particulier le mouvement cyberpunk.
Depuis 1998, la ville de Frontignan la Peyrade et l'association Soleil Noir organisent tous les ans le Festival international du roman noir (FIRN).
Le roman industriel est un genre littéraire qui fait son apparition au début de l'ère victorienne en Grande-Bretagne. Classé dans la catégorie plus vaste du roman social, il décrit le déclin d’un monde essentiellement rural gagné par de nouvelles formes de production et d'urbanisation et aborde les difficultés dans lesquelles se débattent les ouvriers non seulement pour survivre mais aussi pour défendre leur humanité pendant et après la révolution industrielle. Certains romans industriels témoignent de sympathie pour le chartisme et les formes d’action pacifiques comme la grève.
Parmi les exemples qui illustrent ce genre on peut citer Benjamin Disraeli avec Sybil, or the Two Nations (1845), qui fait la peinture d'une utopie industrielle ; Elizabeth Gaskell avec Mary Barton (1848), et plus tard North and South (1854) ; Charles Kingsley avec Alton Locke (1849) 1; Charles Dickens avec Hard Times (1854) ; George Eliot avec Felix Holt (1866).
Certains romans mettent en scène non seulement la vie quotidienne des travailleurs mais encore le mouvement social qui structure leur combat : le héros d’Alton Locke adhère au chartisme, et l’intrigue du roman permet à Kingsley de dénoncer l'injustice sociale dont sont victimes les travailleurs de l'industrie textile, ainsi que les misères des ouvriers agricoles. Kingsley avait participé au mouvement chartiste dans les années 1840 et il se sert de cette expérience dans le roman. Hard Times fait également allusion au mouvement chartiste mais sous un angle tout à fait différent. Le roman dénonce les conditions de vie faites aux ouvriers, s'en prend aux patrons exploiteurs, au mouvement utilitariste de Jeremy Bentham et aux agitateurs que Dickens accuse de manipuler les travailleurs à des fins politiques.
Une partie du roman de David Lodge, Nice Work (1988) renoue avec la tradition du roman industriel en Grande-Bretagne.
Aux États-Unis, c’est encore une femme, Rebecca Harding Davis, qui s’illustre dans le genre avec une nouvelle, Life in the Iron Mills (La Vie dans l'usine sidérurgique) publiée en 1861.
Le terme est parfois employé en France pour qualifier des œuvres telles que La Ville noire (1862), de George Sand4,5. La Fortune de Gaspard, roman de la comtesse de Ségur paru en 1866 est à sa façon un « roman industriel » qui marque la transition entre une France paysanne et une France ouvrière. Le terme apparaît parfois à propos de certains romans de Zola, notamment Germinal. L’industrie se taille généralement dans la littérature française une place moins importante que dans d’autres pays européens. Parmi les auteurs ayant abordé ce thème, on trouve des romanciers marqués par le paysage industriel qui les a entourés, comme le Roubaisien Maxence Van der Meersch, ou des auteurs à préoccupations sociales comme François Bon.
L’expression est d’un emploi délicat en français car elle sert également, dans un sens péjoratif, à désigner des œuvres aux ambitions littéraires réduites au profit d’objectifs commerciaux, qui serait fabriquées de manière « industrielle » par opposition à une littérature « artisanale ». Le roman-feuilleton ou la « littérature de gare » entrent dans ce cadre.
Camille Lemonnier, délaissant la Flandre comme tableau de son roman, dédie au naturaliste Émile Zola, Happe-Chair (1886). Le "Zola belge" y décrit la classe ouvrière dans les usines sidérurgiques du Centre du pays. Georges Eekhoud quant à lui, garde cette Flandre comme fond, en situant La Nouvelle Carthage (1888) à Anvers. On y suit la vie de Laurent Paridael de l'usine aux bas-fonds du port, en passant par la banlieue. Pour la réédition de 1893, l'auteur le retouche, finissant de confirmer sa sympathie pour le monde des paysans ou des ouvriers, en ajoutant les chapitres : Les Émigrants, Contumace, La Bourse, Le Carnaval et La Cartoucherie. Les Villes tentaculaires (1895) est un recueil de poésie écrit par Émile Verhaeren, dans lequel il fait un blâme des villes qui s’agrandissent et « vident » les campagnes. On y trouve aussi de superbes formules d'espérance et de confiance dans l'avenir. Mais c’est également une étude de la vie dans une grande ville moderne. Émile Vandervelde, homme politique belge, écrivit sur le socialisme. Moins connu, Cornelia Hubertina Doff, dite Neel Doff évoque aussi les ouvriers et les plus pauvres dans ses romans (notamment sa trilogie autobiographique Jours de famine et de détresse (1911), Keetje (1919) et Keetje trottin (1921)) et s'engage dans le socialisme. Stijn Streuvels, également néerlandophone, évoque le modernisme qui envahit la Flandre dans De teleurgang van den Waterhoek (en français : Le Déclin du Waterhoek (1927). Quant à celui que l'on compare à Maupassant, Cyriel Buysse, il évoque l'arrivée de la machine dans un village dans un de ses rares romans traduits en français : C'était ainsi... (Zooals het was... - 1921). Plusieurs romans de l'écrivain flamand Louis Paul Boon prennent place dans un milieu industriel, souvent à Alost, ville natale de Boon où plusieurs industries du textile. C'est par exemple le cas de De Kapellekensbaan et de Pieter Daens.
Benjamin Disraeli (21 décembre 1804 - 19 avril 1881) était un homme politique et auteur britannique qui fut deux fois premier ministre du Royaume-Uni. Il joua un rôle central dans la création du parti conservateur moderne dont il formalisa la doctrine. Disraeli eut également une grande influence sur la politique étrangère et associa les conservateurs à la gloire et à la puissance de l'Empire britannique.
Né à Londres dans une famille

ces de soufre. Il est l'un des premiers auteurs français à être publié dans la collection Série noire avec Léo Malet auteur d'une Trilogie noire. Les titres résument assez bien l'essentiel du roman noir : La v

En janvier 2014 paraîtra le recueil La Saga Vorkosigan : Intégrale - 5 qui contiendra les quatre œuvres suivantes de la saga dans des traductions révisées, à savoir les deux romans Komarr et Ekaterin, la nouvelle Winterfair Gifts jusque-là inédite en français et le roman Immunité diplomatique.
Le roman noir peut être à la fois considéré comme un sous-genre ou une sous-catégorie appartenant au roman policier et qui regrouperait le roman d'énigme et le roman à suspense, mais aussi comme un genre à part entière possédant ses propres critères génériques. Les origines du roman noir sont donc parfois liées à celles du roman policier qui débuteraient au xixe siècle. Le genre naît véritablement aux États-Unis dans les années 1920, avec pour ambition de rendre compte de la réalité sociétale du pays : crime organisé et terreau mafieux. Mais le roman noir connaît véritablement son essor après la Seconde Guerre mondiale. Dès lors, le roman noir désigne aujourd'hui un roman policier inscrit dans une réalité sociale précise, porteur d'un discours critique, voire contestataire. Le roman noir, tout en étant un roman détective, se fixe ses propres frontières en s'opposant au roman d'énigme, car le drame se situe dans un univers moins conventionnel, et moins ludique.
Le roman noir semble difficile à définir de par sa structure instable et ses diverses variations dans le temps1. Cependant on peut relever certains éléments récurrents qui le caractérisent : un univers violent, un regard tragique et pessimiste sur la société, un fort ancrage référentiel et un engagement politique ou social. D'autres critères peuvent être ajoutés à cette définition par leur présence répétée dans le roman noir : l'usage de la langue verte ou argot2 pour être au plus près du milieu social décrit, l'écriture behavioriste ou encore un paysage essentiellement urbain que l'on retrouve dans les films noirs.
Roman policier donnant une vision réaliste des conditions sociales et de la criminalité. Il est en plein essor aux Etats-Unis dans les années 1950
Parmi les précurseurs français du genre, on peut citer Balzac : Une ténébreuse affaire (1843) ou Eugène Sue et ses Mystères de Paris (1842-1843), mais Émile Zola pourrait peut-être s'en réclamer aussi pour L'Assommoir, voire Thérèse Raquin.
Dans les années 1920, une génération d'écrivains américains, notamment Dashiell Hammett, écrit des romans qui ont pour ambition de rendre compte de la réalité sociétale du pays : gangstérisme, corruption politique et policière, toute-puissance de l'argent, utilisation ostensible de la violence... Dashiel Hammet apparaît comme le représentant de cette littérature populaire naissante appelée « hard-boiled  », dont il créa l'école avec Carroll John Daly3. Ces auteurs publient leurs textes dans des magazines populaires et peu coûteux, surnommés les dime magazines (un dime = 10 cents) ou les pulp magazines (du nom de la pulpe de papier de piètre qualité qui sert à l'impression). Plusieurs écrivains se bornent à exploiter les ingrédients bassement commerciaux de cette littérature destinée avant tout aux jeunes hommes (sexe, alcool, violence), mais les meilleurs suivent les traces de Hammett pour détourner les conventions du genre à des fins subversives de dénonciation du capitalisme, de la corruption policière et de la collusion entre le pouvoir politique et la pègre: W.R. Burnett, Jonathan Latimer, Raymond Chandler, Howard Fast, Ross Macdonald, Jim Thompson, Chester Himes, William P. McGivern, Fredric Brown...
En août 1944, quelques jours avant la Libération de Paris, Marcel Duhamel découvre trois livres ; deux sont de Peter Cheyney et le troisième de James Hadley Chase (tous deux auteurs britanniques). Il en confie la traduction à Gallimard, avec l'idée d'une collection et Jacques Prévert en trouve le titre : ce sera la Série noire. La collection débute en 1945 et connaît immédiatement le succès. En important l'œuvre d'auteurs américains tels que Horace McCoy, qui avait écrit On achève bien les chevaux et Adieu la vie adieu l'amour (version française 1949), ou James Cain (Le facteur sonne toujours deux fois), Marcel Duhamel rend le genre populaire en France.
Côté français, Jean Amila y publie une vingtaine de romans dont Motus !, Sans attendre Godot, La Lune d'Omaha ou encore Noces de soufre. Il est l'un des premiers auteurs français à être publié dans la collection Série noire avec Léo Malet auteur d'une Trilogie noire. Les titres résument assez bien l'essentiel du roman noir : La vie est dégueulasse (1948), Le soleil n'est pas pour nous (1949), Sueur aux tripes (1969). Les romans d'André Héléna sont également à mentionner. Philippe Porée-Kurrer, avec sa Quête de Nathan Barker (1994) a sans doute ouvert des portes nouvelles au genre.
Le commentateur français par excellence restera toutefois Jean-Patrick Manchette. Lui-même auteur de quelques romans Laissez bronzer les cadavres !, La Position du tireur couché, L'Affaire N'Gustro, c'est toutefois son travail d'éclaireur pour le genre en tant que critique dans les pages de Libération qui le signalera comme le véritable exégète du roman noir. Jean-Patrick Manchette est d'ailleurs à l'origine de l'expression néo-polar qui désigne un renouveau du roman noir dans les années 70. Frédéric H. Fajardie rejoindra le cercle des auteurs de roman noir avec Tueurs de flics, puis sa célèbre Nuit des Chats bottés qui lui vaudront le titre de « maître du néo-polar ». Moins médiatique que Manchette, A.D.G. a lui aussi su créer un style très personnel qui sera reconnu de tous, au-delà des considérations idéologiques.
Le néo-polar devient alors une source et une référence pour la nouvelle génération d'écrivains des années 1990-2000, qui multiplient les formes du roman noir. On voit apparaître en France des auteurs aux styles différents, choisissant des thèmes variés comme l'histoire, les faits divers, le western, la politique et mélangeant les genres : Jean-Bernard Pouy, Didier Daeninckx, Tonino Benacquista, ou encore Maurice Georges Dantec. Le roman noir devient parfois une œuvre hybride, ainsi la question d'une nouvelle forme, celle du roman noir post-moderne, est à étudier3.
La littérature de science-fiction